De nombreuses équipes choisissent Spring Boot pour accélérer la mise en œuvre de leurs applications Java. Mais que se passe-t-il quand on a besoin de maîtriser chaque couche de l’application, notamment la configuration fine de la gestion des transactions, sans dépendre de la magie de l’auto-configuration ?
En tant que développeur Java, je suis souvent confronté à des projets complexes, qui nécessitent un contrôle précis de l’environnement, par exemple dans le cadre :
→ de migrations d’applications existantes,
→ d’intégration avec des systèmes legacy,
→ ou de contextes on-premise où Spring Boot n’est pas une option viable.
Dans ma dernière newsletter, je partage comment activer et configurer la gestion des transactions JPA sans Spring Boot en utilisant JpaTransactionManager, LocalEntityManagerFactoryBean et une configuration 100% maîtrisée.
Parce que ce type de compétence permet :
✅ d’éviter les surcoûts techniques liés à une mauvaise abstraction,
✅ d’assurer la robustesse et la fiabilité des traitements critiques,
✅ et surtout, d’adapter votre architecture aux véritables besoins métiers, sans dépendre aveuglément d’un framework.
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PS : Vous avez un besoin en architecture backend Java robuste ?
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